Qui n'a pas cédé à l'acquisition d'un bien de consommation à crédit ? Qui n’a pas connu des fins de mois difficiles ? Si vous n'avez jamais connu pareille situation, alors cet article ne vous concerne pas ! Aujourd'hui, les crédits sont obtenus pour une opération précise. Par exemple, pour acheter un bien électroménager, pour acheter sa voiture, puis progressivement pour acquérir un bien immobilier. Cette succession d’achats correspond aux ambitions de chacun. La règlementation en matière de crédit pose des limites qui visent à stopper le niveau de surendettement.
Ce phénomène n'est pas stigmatisant car il ne frappe pas une couche de population plus qu'une autre. L'empilement des crédits suffit insidieusement à provoquer le déséquilibre. En effet, on parle d'un achat en centaines d'euros par mois, autrement dit on évalue le remboursement du prêt par rapport au besoin immédiat. Cela n'est nullement affligeant ; nous subissons les pratiques commerciales autant que les recommandations souvent tardives dans le domaine.
Première remarque, l'avertissement ou le signal d'alarme provient en règle générale du banquier, à vrai dire de "son ordinateur" qui suit votre compte. L’ordinateur trace un profil "par tendance" en fonction des revenus, des ratios de charges fixes mensuelles et du restant pour vivre qui se dégage presque naturellement, tant les graphiques sont lisibles. Il suffirait d'y avoir accès pour comprendre ces informations.
Les causes, nous les connaissons. Les crédits ne sont pas importants considérés un par un. La durée de remboursement est souvent courte, car nous sommes soucieux (au moment de l'achat) du coût que représente ce financement. Mais, un deuxième, puis un troisième financement viennent compliquer le budget.
En toute bonne foi, on voit l'échéancier se surcharger, quelquefois sur peu de mois. Par exemple un prêt se terminera dans six mois, alors que l'achat d'aujourd'hui n'est décemment pas possible. Et pourtant personne ne s'en soucie, malgré les lois Neiertz ou Scrivener.
La solution n'a rien d'exceptionnel, d'ailleurs on l'applique depuis des lustres, dans ce que l'on appelle les crédits de campagne. Pour exemple : un entrepreneur, un artisan, un agriculteur doit mettre en œuvre "une spéculation" (pour ce dernier) en ensemençant par exemple un champ de blé. Il aura recours à un crédit court terme calculé sur le calendrier qui correspond à la récolte. Evident n'est ce pas !
Si d'aventure les recettes ne couvrent pas les crédits en cours, alors le banquier fera le point et consentira un nouveau prêt "en apurant" les précédents, et cela sans pénalités. Pourquoi, cette pratique ne pourrait-elle être étendue aux particuliers.
Nous les courtiers en restructuration ou en rachat de crédit, allons reprendre le modèle à notre manière. Les crédits à la consommation sont en général d'un montant restant dû peu élevé et sur une durée courte.
Ces prêts à la consommation sont remboursables par anticipation sans frais. Après remboursements, ce capital "cumulé" permettra un nouveau financement d'une durée supportable, en tenant compte des ratios en vigueur.
Quand il y a des prêts conso et un ou plusieurs prêts immobiliers, la problématique est plus technique. Il ne faut pas modifier les droits obtenus avec lesdits. C'est bien là le rôle du courtier de rachat de crédit et crédit immobilier ou encore appelé restructuration. La règlementation est précise, il faut la connaître, d'une part, et surtout il faut veiller à ce que l'emprunteur n'ait pas franchi la ligne jaune du surendettement ou de l'interdiction FICP, d'autre part.
La réaction s’impose dès que l'alerte est donnée par le banquier. Il adresse une lettre rappelant le texte de loi sur le remboursement des crédits et notifie la mise en garde concernant les paiements à venir. Un contact s'impose ; sauf cas rares spécifiques, la bonne décision se révèle d’une grande efficacité.
N'attendez plus, un expert en rachat de crédit
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Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.
Aucun versement de quelque nature que ce soit, ne peut être exigé d’un particulier, avant l’obtention d’un ou de plusieurs prêts d’argent.